Question 1 :

1. Le syndrome de Klinefelter : ⇒ est dû à la présence d’un chromosome sexuel supplémentaire
2. La puberté : ⇒ est anormale chez le garçon atteint du syndrome de Klinefelter
3. Un manque de testostérone peut conduire à : ⇒ l’apparition de seins chez le garçon

Question 2 : L’analyse des données chiffrées du Doc 2 nous permet de constater que :

• chez un individu non atteint du syndrome de Klinefelter, le taux de testostérone augmente de façon importante à partir de la puberté (de 10 ng/dl à 12 ans il passe à 520 ng/dL à 18 ans)

Alors que

• chez un individu atteint du syndrome, le taux de testostérone reste faible et stable  (3 à 4 ng/dl)

C’est donc cette absence d’augmentation du taux d’hormone mâle (testostérone) qui est responsable des différents symptômes de ce syndrome.

Question 3 : Afin d’élaborer le diagnostic, il est nécessaire de faire :

• un caryotype afin de constater l’anomalie chromosomique XXY sur la paire de chromosomes sexuels (Doc 1 )
• une prise de sang pour constater le faible taux de testostérone  et l’absence d’augmentation de cette hormone masculine vers 12, 13 ans (Doc 2)

Un traitement par hormonothérapie se justifie car en donnant de la testostérone au garçon à partir de l’âge de la puberté, on permettra alors le développement des Caractères Sexuels Secondaires normaux d’un Homme et on évitera ainsi, probablement l’infertilité.

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Question 1 : Les données du document 2 nous expliquent que, dans l’approvisionnement énergétique mondial entre 2010 et 2035 :

• la part des énergies non renouvelables va diminuer de 81 à 74 %
• la part de l’énergie nucléaire va malheureusement rester stable (6%)
• la part des énergies renouvelables va augmenter de 13 à 20 %

Question 2 : L’analyse des documents 3 et 4 nous indique que pour :

• Strasbourg,  l’énergie renouvelable la plus pertinente est la géothermie
• Brest, l’énergie renouvelable la plus pertinente est l’énergie éolienne
• Marseille, les énergies renouvelables les plus pertinentes sont l’énergie Solaire et l’énergie éolienne

Question 3 : L’analyse des documents 1 à 4 nous indique que pour la ville de Reims, il serait possible de miser sur un approvisionnement énergétique à partir de :

• l’énergie nucléaire

Ou,  de façon plus pertinente

• de l’énergie renouvelable géothermique proche. En effet, une centrale géothermique à proximité de Reims ( Doc 3) pourrait produire de l’électricité ( débit supérieur à 120mW/m2)  qui serait ensuite conduite jusqu’à la ville.

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Correction du sujet SVT de Polynésie 2017

Question 1 : Le document 1 nous indique que le micro-organisme responsable de la transmission de la peste se nomme Yersina pestis. Il s’agit d’un micro-organisme de type bactérie.

Question 2 :

Etre humain (m) - Poumon humain (cm) - bactérie (mm)

+ grand  ----------------------------------------------------->   + petit

Question 3 : Le document 3 nous explique que ce micro-organisme se transmet par :

• les piqûres de puces (du rat à l’homme ou de l’Homme à l’Homme).
• inhalation de poussières contenant des excréments de puces.
• par voie aérienne : gouttelettes de salive, éternuement…contenant la bactérie inhalées.

Question 4 :   Le document 3 nous permet de comprendre que le costume est protecteur contre la contamination car :

• La tunique épaisse et les bottes renforcent la protection au niveau de la peau (barrière naturelle). Le risque de  piqures de puces sera limité.
• Le masque avec le bec protège les voies respiratoires et donc les muqueuses (barrières naturelles). Le risque de  contamination par voie aérienne et inhalation sera diminué.
• Par contre pour lutter efficacement contre la contamination, il serait nécessaire de porter des gants et de ne pas garder les mains nues !

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Correction du Sujet SVT de Métropole 2017

Question 1 :
En 2012, la part des énergies renouvelables se situe entre 10 et 15 Mtep. Elle est très inférieure à la part des énergies non renouvelables qui représente plus de 80 Mtep :

• Un peu plus de 30 Mtep pour le pétrole,
• Un peu moins de 30 Mtep pour le charbon,
• Un peu plus de 20 Mtep pour le gaz naturel.

Question 2, a : Entre 2005 et 2035, il est prévu une consommation mondiale de pétrole en forte
augmentation de 80 à 150 millions de barils par jour. Sur cette même période, il est prévu une forte diminution de la production mondiale de 80 à 30 millions de barils par jour. D’un équilibre entre la consommation et la production de pétrole en 2005, on passe à un fort déficit de production en 2035, il manquera alors environ 120 millions de barils par jour.

Question 2, b : Depuis 2015, la consommation mondiale de pétrole est plus importante que sa production. Ce déséquilibre deviendra extrêmement important en 2035 avec un déficit d’environ 120 millions de barils par jour. Comment l’Homme va-t-il diminuer sa consommation de pétrole ? Par quelles sources énergétiques le pétrole va-t-il être remplacé ?

Question 3 : Le document 4 indique que les énergies non renouvelables vont s’épuiser dans les dizaines d’années à venir (54 ans pour le pétrole, 63 ans pour le gaz et 112 ans pour le charbon) alors que les énergies renouvelables sont par définition inépuisables. Une transition des énergies non renouvelables vers les énergies renouvelables est donc indispensable. Le document 3 indique les objectifs relatifs à la transition énergétique :

• Par la loi du 17 août 2015, le pays tout entier s’est engagé vers une indépendance énergétique, cela permettra de ne plus dépendre du pétrole.
• L’augmentation de 50% des installations technologiques permettra d’accroître la production des énergies renouvelables d’ici 2023.

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Correction du Sujet SVT de Métropole 2018

Question 1 : Le patient âgé de 33 ans n’est pas à jour dans sa vaccination contre le tétanos car il n'y a pas de vaccination contre le tétanos à 25 ans. Pour être immunisé, il y a nécessité de respecter le calendrier vaccinal (avoir les vaccins aux bonnes dates).

Question 2 :  

Question 3a :

Sa vaccination contre le tétanos n’est plus à jour (=NON) DONC il faut effectuer un test de dosage rapide des anticorps anti-toxine tétanique. les résultats du test montre une absence d’anticorps DONC le Protocole C est nécessaire.

Question 3b : Il est nécessaire d'effectuer :

• une prise d’antibiotiques pour stopper l’infection par les bactéries qui proviennent de l’outil de jardinage.
• Une injection d’anticorps anti-toxine tétanique (sérothérapie) pour compenser l’absence actuelle d’anticorps anti-toxine tétanique du patient.
• une remise à jour de la vaccination contre le tétanos pour assurer une immunisation durable du patient (au- delà des quelques jours de protection de la sérothérapie).

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Correction du sujet SVT d’Amérique du Nord 2018

Question 1 :

• 1.1 Le graphique du document 1 représente : □ la perte d'audition en fonction de la fréquence des sons.
• 1.2 Pour une fréquence de 1000 Hz, un individu témoin de 60 ans a : □ une perte d'audition égale à environ 20 dB.
• 1.3 A 60 ans, la perte d'audition d'un individu témoin est : □ plus importante pour les sons aigus que pour les sons graves.

Question 2 : 

• Si nous comparons Monsieur X à l'individu témoin pour des fréquences comprises entre 125 et 500 Hz (sons graves) : Monsieur X a une perte d’audition de 20 dB. L’individu témoin a une perte d’audition également de 18 dB environ.

Monsieur X a donc une perte d’audition plus importante de 2 dB que l’individu témoin.

• Pour des fréquences comprises entre 500 et 4 000 Hz (sons aigus) : Monsieur X a une perte d’audition de 20 dB à 80 dB soit une diminution de 60 dB. L’individu témoin a une perte d’audition qui diminue de 18 dB à 55 dB soit une diminution de 37 dB.

Monsieur X a donc une perte d’audition beaucoup plus importante dans les sons aigus que l’individu témoin (23 dB supplémentaire).

Question 3 :  

• Le doc. 3 nous indique que le seuil de danger se situe au-delà de 85 dB. Monsieur X travaillait dans une chaudronnerie dont le niveau sonore s’élève à 100 DB soit 15 dB au-dessus du seuil de danger. Monsieur X n’a pas toujours porté de casques anti-bruit et s’est donc exposé à des traumatismes entrainant des surdités professionnelles.
• Le doc. 2 nous montre les cellules ciliées situées dans l’oreille interne qui permettent d'entendre des sons. On peut observer que de nombreuses cellules ciliées manquent dans l’oreille interne de personnes comme Monsieur X, atteintes de surdité. Ce document indique que : Les cellules ciliées « peuvent être abimées et détruites si l’oreille est « agressée » par un niveau sonore constant et supérieur à 85 dB. C’est donc pour cela que monsieur x a perdu une partie des cellules ciliées de son oreille interne et donc une partie importante de son audition.

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Question 1 :

• 1a- L’absorption de l’eau et des sels minéraux correspond-elle à la lettre A, B, C ou D ? ⇒ D
• 1b- La synthèse de la matière organique à partir de matières minérales correspond-elle à la lettre A, B, C ou D ? ⇒ C
• 1c- Le stockage de la matière organique dans un organe souterrain correspond-il à la lettre A, B, C ou D ? ⇒ B

• 1d- Le transport de la matière organique sous forme de saccharose correspond-il à la lettre A, B, C ou D ? ⇒ A

Question 2 :

• Le document 1 nous indique que la sève élaborée ne contient pas d’amidon (trop volumineux) mais contient du saccharose provenant des feuilles.
• Le document 2 nous indique que l’amidon est insoluble dans l’eau, or, le document 1 précise que la sève élaborée contient de l’eau.

L’amidon étant insoluble dans l’eau et la sève élaborée contenant de l’eau, Il ne peut donc pas y avoir d’amidon dans l’eau de la sève élaborée.

Question 3 :

• Le document 3 nous indique que l'eau d'érable contient 2% à 3% de saccharose.
• Le document 1 nous apprend qu'Il n’y a donc pas de saccharose dans la sève brute. Il y a du saccharose dans la sève élaborée comme l’eau d’érable. La sève élaborée a donc la composition la plus proche de l’eau d’érable.

Question 4 :

• Le document 3 nous indique que chez l’érable au printemps, le gel et le dégel provoquent la transformation de l’amidon stocké dans le tronc en saccharose. Celui-ci peut alors passer dans la sève.
• Le document 4 nous apprend qu’au début du printemps la sève brute contient du saccharose qui provient de cette transformation observée uniquement à cette période.
• Au début du printemps, la sève élaborée n’est pas produite. Contrairement à la réponse de la question 3, on peut maintenant déduire que l’eau d’érable récoltée provient de la sève brute et non de la sève élaborée.

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Correction du sujet SVT d’Amérique du Nord 2019

Question 1 :

• 1.1 Les bactéries sont : ⇒ des êtres vivants observables au microscope.
• 1.2 Les bactéries : ⇒ ne rendent pas forcément malades.
• 1.3 On rencontre des microorganismes: □ dans tous les milieux.
• 1.4 La contamination est : ⇒ la pénétration des microorganismes dans l’organisme.

Question 2 : L’analyse du document 1 nous permet d’affirmer que l’angine de Léa est d’origine virale car son test diagnostic est négatif (voir doc 1b). Si des bactéries avaient été prélevées dans sa gorge et avaient été mises en évidence par le réactif, 2 traits seraient apparus sur la bandelette test, or ce n’est pas le cas. Son angine n’est donc pas d’origine bactérienne.

Question 3 : Le médecin n’a pas donné d’antibiotiques à Léa car l’analyse du document 2 nous prouve qu'avec (milieu 1) ou sans antibiotiques (milieu 2), l’infection des cellules par les virus est identique (ex : 100 virus infectant les cellules au bout de 15h)

Question 4 : Ce médecin n’a pas prescrit d’antibiotiques Léa car :
- Le test qu’il a réalisé après le prélèvement de gorge a prouvé que l’angine était due à un virus (voir doc 1)
- L’analyse des résultats des cultures virales du doc 2 a prouvé que les antibiotiques ne détruisaient pas
les virus et n’empêchaient pas l’infection
- Il a constaté (voir doc 3) que depuis 2002, l’utilisation abusive et inutile d’antibiotiques a diminué leur
efficacité sur 2 bactéries qui sont devenues de plus en plus antibiorésistantes !

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Correction du sujet SVT de Pondichéry 2019

Question 1 : La substance qui est exploitée pour fabriquer des biocarburants, à partir d’Haematococcus pluvialis, est l’huile

Question 2 : Après comparaison, le document 2 nous apprend que la productivité d’huile obtenue à partir de la culture d’algues est nettement supérieure (40g/jour par m²) à celle obtenue à partir de la culture du Colza ou du tournesol (entre 2 et 3g/jour par m²).

Question 3 :
Les dernières générations de biocarburants, à partir d’algues, ont un double intérêt :
- Le premier : on ne gaspille pas des graines de végétaux qui sont comestibles et qui pourraient contribuer à nourrir des êtres vivants (voir doc 3).
- Le second : on économise de la surface agricole réutilisable pour la culture de produits alimentaires (voir doc 4) : En effet, la dernière génération utilise seulement 4,2% de la surface agricole contre 72% pour la première génération soit plus de 17x moins ! (données pour 10% des besoins en carburant).
En résumé, la dernière génération de biocarburants à partir d’algues évite la compétition entre les surfaces cultivées pour les productions alimentaires et celles utilisées pour les transports.

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Correction du sujet SVT de métropole 2019

Question 1 : Afin de surveiller la qualité de l'eau pour prévenir l'apparition de la malaïgue, il est nécessaire de :

• Mesurer la température de l’eau afin de vérifier qu’elle ne dépasse pas 25°C et mesurer la luminosité afin de s’assurer qu’elle ne soit pas élevée : ces deux conditions sont favorables à la dégradation des algues et donc la multiplication des bactéries.
• Mesurer la quantité de dioxygène dissous afin de vérifier qu’elle reste supérieure à 2mg/L, valeur minimale pour la survie des coquillages.
• Mesurer la vitesse du vent pour déterminer les périodes à risque (pas ou peu de vent) qui ne permettent pas d’oxygéner l’eau.

Question 2 : 

• Question 2A : Pour conclure que les huitres sont vivantes, on utilise : a) les dispositifs 1 et 2
• Question 2B : On s’attend à voir la quantité de dioxygène diminuer au fil du temps dans : b/ les dispositifs 1 et 3
• Question 2C : L’impact des bactéries sur la dégradation des algues sera mise en évidence par la comparaison : d. des dispositifs 3 et 4

Question 3 : 

Pour éviter la mort des coquillages de l’étang de Thau, on peut mettre en place les actions ou les solutions techniques suivantes :

• Avant et pendant la période à risque, il faut diminuer la quantité d’algues microscopiques en filtrant l’eau de l’étang ou à ramassant les dépôts d’algues mortes. L’introduction d’un prédateur naturel de l’algue peut-aussi être efficace.
• Pendant la période à risque (température de l’eau importante, vent faible, forte luminosité, présence d’algues), il faut augmenter l’oxygénation de l’eau en faisant fonctionner des systèmes de brassage de l’eau (turbine, hydrolienne, bulleurs) et en faisant circuler l’eau dans l’étang (ouverture des canaux d’alimentation avec la mer).

Correction du sujet SVT de métropole 2021

Question 1 :

- Les chlorophylles a et b, les carotènes et les xanthophylles sont des pigments permettant la photosynthèse chez les végétaux. La chromatographie des feuilles rouges (Document 1) montre qu’elles possèdent ces pigments. Elles peuvent donc réaliser la photosynthèse.

- Les feuilles rouges sont les seules à posséder des anthocyanes (Document 1). On peut donc supposer que ce sont les anthocyanes qui sont responsables de la couleur rouge de ces feuilles.

Question 2 :

L’expérience n°2 est la seule qui permet de tester l’hypothèse proposée. En effet, un seul paramètre (la luminosité) varie entre les 2 dispositifs qui ont chacun une plante à feuilles rouges (une à l’obscurité et l’autre à la lumière). On pourra donc conclure que la lumière permet ou non de la photosynthèse avec la production d’amidon.

Question 3 :

Texte

• La zone verte montre la présence de chlorophylles donc il y a production d'amidon à la lumière. L'eau iodée va colorer cette zone en violet-noir.
• La zone rouge montre la présence de chlorophylles donc il y a production d'amidon à la lumière. L'eau iodée va colorer cette zone en violet-noir.
• La zone blanche montre l'absence de chlorophylle donc il n'y a pas production d'amidon à la lumière, l'eau iodée reste jaune sur cette zone.

ou schéma

La photosynthèse entraine la production d’amidon en présence de pigments chlorophylliens (document 1), de lumière (document 2 et 3) et d’eau et de sels minéraux (document 3) : il est donc prévisible que seules les parties de la feuille possédant ces pigments (rouge et/ou vert) permettent la production d’amidon.

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Correction du sujet SVT d’Amérique du Nord 2022

Question 1 :

Le document 1 nous montre que de nombreux foyers sismiques (magnitude supérieure à 3) sont répertoriés dans les eaux autour de la Martinique entre 1996 et 2011. Comme l'indique le document 3, un tsunami se crée après un séisme en déplaçant une grande masse d'eau. La Martinique est donc une zone à risque concernant les tsunamis.

Question 2 : D’après le document 2, les tsunamis sont plus dangereux sur la côté atlantique que sur la côte caraïbe avec des vagues 6 fois plus haute.
Le document 3 explique que plus le volume d'eau est grand, plus la distance parcourue par le tsunami sera longue et plus les dégâts risquent d’être importants : L'aléa est donc plus fort sur la côte atlantique car les séismes sont plus nombreux et situés plus loin du rivage comme le montre le document 1. 

Question 3 : 

1. Les ondes sismiques ne sont pas encore arrivées à la station BIM
2. 0 h 43 mn 54 s
3. 25 minutes             (37x40)/60     40=40 fois plus lent (Doc 5) et 60 pour obtenir le résultat en minutes

Question 4 a : Un risque géologique est la combinaison de l'aléa (ici sismique + tsunami) et de la vulnérabilité de l'enjeu (population, constructions, ... surtout sur les côtes pour une île)

Question 4 b :

Le document 5 indique que les ondes sismiques se propagent 40 fois plus rapidement dans les roches qu’un tsunami en mer. Le document 4 montre que le séisme est arrivé au bout de 37 secondes à la station BIM de Martinique, le tsunami sera donc sur la côte 25 minutes après (40 fois plus lent). Cette station est donc capable de prévoir l'arrivée d'un tsunami et d'alerter les autorités et la population pour évacuer la zone concernée.

Ceci ne sera efficace que si une politique de prévention du risque a été menée en amont : pour cela, comme le montre le document 6,  il faut informer les populations sur la conduite à tenir suite aux signes précurseurs d'un tsunami ou une alerte officielle et les entraîner régulièrement à évacuer les zones à risque vers des hauteurs.

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Correction du sujet SVT de métropole 2022

Question 1 :

Question 2 : 

Question 3 : 

Question 4  :